Titre : |
L'Euafrique contrepoint de l'idée d'Europe : Le cas français de la fin de la deuxiéme guerre mondiale aux négociations des traités de rome |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Yves MONTARSOLO, Auteur |
Editeur : |
PUP |
Année de publication : |
2010 |
Format : |
22cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-85399-728-7 |
Prix : |
27 euro |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
7 Pays et ensembles de pays:7.20 Europe
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Tags : |
Eurafrique Europe Français Deuxième guerre mondiale Négociations Traités de Rome |
Résumé : |
L’Eurafrique fut toujours le contrepoint de l’idée d’Europe, tant avec les projets de Valois, Sarraut ou Darlan, typiques d’une « colonisation tardive » qu’avec celui de Senghor, synonyme d’une intégration égalitaire de l’Afrique française dans la Communauté Politique européenne. En effet, si la « Vieille Eurafrique » de ces trois personnages fut associée aux aléas européens des années trente et quarante, la « Jeune Eurafrique » du député africain resta liée, dans les années 1952-1953, aux travaux de l’Assemblée « ad hoc ». Cette dernière servit de bouc émissaire : accusée de servir les intérêts du « colonialisme second » des Européens et de ceux des « nationalistes indigènes », Bidault la sacrifia. Pourtant, elle resurgit à la conférence de Venise car Defferre avait réussi en à faire une exigence française. Les Six devaient prendre la relève du FIDES, assurer le développement de l’outre-mer et bâtir un marché eurafricain. Il échoua, mais son projet initial aboutit à l’Association des TOM au Marché commun.
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L'Euafrique contrepoint de l'idée d'Europe : Le cas français de la fin de la deuxiéme guerre mondiale aux négociations des traités de rome [texte imprimé] / Yves MONTARSOLO, Auteur . - PUP, 2010 . - ; 22cm. ISBN : 978-2-85399-728-7 : 27 euro Langues : Français ( fre)
Catégories : |
7 Pays et ensembles de pays:7.20 Europe
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Tags : |
Eurafrique Europe Français Deuxième guerre mondiale Négociations Traités de Rome |
Résumé : |
L’Eurafrique fut toujours le contrepoint de l’idée d’Europe, tant avec les projets de Valois, Sarraut ou Darlan, typiques d’une « colonisation tardive » qu’avec celui de Senghor, synonyme d’une intégration égalitaire de l’Afrique française dans la Communauté Politique européenne. En effet, si la « Vieille Eurafrique » de ces trois personnages fut associée aux aléas européens des années trente et quarante, la « Jeune Eurafrique » du député africain resta liée, dans les années 1952-1953, aux travaux de l’Assemblée « ad hoc ». Cette dernière servit de bouc émissaire : accusée de servir les intérêts du « colonialisme second » des Européens et de ceux des « nationalistes indigènes », Bidault la sacrifia. Pourtant, elle resurgit à la conférence de Venise car Defferre avait réussi en à faire une exigence française. Les Six devaient prendre la relève du FIDES, assurer le développement de l’outre-mer et bâtir un marché eurafricain. Il échoua, mais son projet initial aboutit à l’Association des TOM au Marché commun.
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